22/01/2009

21/01/2009

des nouvelles du front!!

à lire : les déboires d'un anonyme qui a vu sa vie publiée
http://patgoud.posterous.com/on-prend-un-anonyme-et-on-raco

06/01/2009

Final retravaillé









Suivant les conseils qui m'ont été donnés par Joëlle (voir commentaire sur l'article "De retour"), j'ai retravaillé la mise en page. J'ai aussi réduit le nombre de page à un nombre correct pour l'impression (16). La dernière de couverture (tout en haut à gauche) n'est pas encore pensée puisque selon l'assemblage qui aura lieu avec les autres livres elle se retrouvera (peut être) en vis à vis avec la couverture du livre suivant. De même la pagination n'est pas encore présente puisqu'elle sera sûrement commune. Les deux dernières pages présentent du faux texte. Je suis encore en train d'y réfléchir.

04/01/2009

Pour le final










Voilà la première mouture de mon livre final. Un thème "Le quotidien sous surveillance" et deux chapitres "La surveillance surveillée" et "Espèce humaine menacée" (dont il manque encore le texte). Pour l'instant je dépasse le nombre de pages autorisées (16 pages)... Ce que je présente ici sont à chaque fois des doubles-pages.

De retour...


Il s'est passé beaucoup de choses depuis mon dernier article!!

En effet j'ai pu rencontrer la personne qui dirige les caméras de vidéo surveillance de la ville d'Orléans. C'est une personne qui met très vite à l'aise. Elle s'est livrée très facilement sur son travail et son mode de fonctionnement. D'un premier abord très inoffensif, le système de vidéo surveillance s'est révélé au fil de la discussion être une arme répulsive.


Selon lui les caméras sont d'abord utiles pour collecter des informations sur l'état des forêts au sud d'Orléans, pour permettre aux Forces de l'Ordre d'être plus réactives, pour adapter les moyens lors d'une intervention et enfin pour "repousser la délinquance du centre-ville". A ces mots je lui ai donc rétorqué : "les caméras repoussent la délinquance plus loin (dans les quartiers périphériques la plupart du temps). Elles ne règlent donc pas le problème et ne font que le déplacer!"

"- Ce n'est pas mon problème (travail) de gérer la délinquance si elle s'en va dans la ville d'à coté. Moi je travaille à Orléans, je place des caméras à Orléans. Si la ville d'à coté a de la délinquance, elle n'a qu'à placer elle aussi des caméras! [...] Et oui, pour répondre à votre question, s'il y a besoin encore de caméras je suis prêt à en mettre de nouvelles."


Autant dire que la vidéosurveillance a encore de beaux jours devant elle!!!

08/12/2008

Nouveaux essais de visuels



Après avoir produit un travail mis en page de manière rigoureuse, je m'oriente pour ce prochain livre vers des visuels plus sensibles.Voici une première proposition de recto-verso. Jeu de transparence, et de perforation de la feuille (zone sensible au touché).

05/12/2008

Après en avoir discuté

Avant de poursuivre mes recherches et après avoir parler avec Sophie Monville, un état des lieux de mon travail s’impose.
Tout d’abord, je vois reformuler ma thématique, afin d’être plus claire et de bien poser les choses : le quotidien sous surveillance ou l’individu sous contrôle (contrôle externe, mais aussi interne). Mes recherches futures s’appuyeront sur celle-ci.

Ma première phase de recherche a été un repérage qui se veut descriptif d’un système de surveillance. Il amène à une prise de conscience de ce dispositif. La mise en page de cette étape est bonne puisqu’elle donne à voir un récit. Il reste cependant à revoir la graphisme utilisé pour noter les repérages.

Ma deuxième phase pourrait peut-être se construire à partir de textes de philosophes(Deleuze, Foucault « Surveiller et punir »), afin de mieux s’enfoncer dans le dispositif même de surveillance.
Une notion intéressante dans un de mes essais et l’expérimentation du plan gaufré dans du calque. Il donne une vision sensible du parcours ainsi qu’un dessin synthétique extrait d’une observation approfondie. La technique doit être poursuivie.